Partir sur le chemin de Compostelle, ce n’est pas juste “prendre un sac et marcher”. C’est une idée qui met du temps à mûrir. Parfois des années.
Tu te demandes si tu es prêt·e, si tu vas y arriver, si tu vas être seul·e, si ton corps suivra, si tu vas aimer ça. C’est normal.
J’ai parcouru plusieurs sections du Camino, en Espagne comme en France : la Via Podiensis, le Camino del Norte, le Camino Primitivo… toujours avec ce même mélange d’excitation, de doutes, d’envie de partir et de ne pas trop réfléchir.
Les premiers jours sont souvent les plus déroutants : trouver son rythme, apprivoiser son sac, accepter de marcher lentement, accepter d’être fatigué le soir, et surtout laisser tomber la pression de “bien faire”.
Sur cette page, tu trouveras tous mes conseils simples et concrets, tirés de l’expérience, sans prétendre détenir une vérité universelle.
Ce que je peux te garantir : on trouve toujours son rythme.
On trouve son confort.
On apprend à écouter son corps.
Et surtout, on part comme on est. Pas besoin d’être sportif, courageux ou “prêt”.
Tu seras prêt·e en marchant.